Українська та зарубіжна поезія

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L’OUBLI ET LES LUBIES

Et moi pourquoi ne tuer ceux-ci du ponton
Bafouillent, fous, très horripiles de ce ton
Inquiet qu’eux-mêmes avaient leur âme selon leur
Habitude. Ou encore moins d’imagination. Enfin…
Dans lesquels tombe l’appetit du plus simple homme
Entre les seins de… “Mais c’est une femme du
Monde. Du meilleur monde. “
Ils font boire ils font fumer, ils ne savent que
Conserver de la terre les restes de l’ubie.
Pour le moment nous nous laissons de côte pour rentrer.
Et quand je tremble de vous voir trembler
Devant moi, si mal maquillee, adossee
Aux balustres du cent cinquantenaire
Les doigts du donateur de gauche, assouplis,
Ne vous cherchent-ils pas, à decouvert?
Pour les perspectives qui sont des ressemblances
Comme dans la maladie, le malade se sent croise
Les autres, les plus subtils, voudront trouver
Ici une offre, à la manière des lucarnes où
Peuvent bien passer de temps à autre les loutres.
Je flaire avec un bruit qui ressemble à un ” zing “
Special l’ordre de ce langage mal pendu, ou que
l’on craint de dependre – le souci en periode o-
rageuse, le brin de ” stupeur ” subalterne qui
est l’attaque aux tremblements enchevêtres des
terres, le plaisir du journal, en “vacances”.
-Je me meprends sur le ferret de la forêt orientale
Pour l’œuvre comme pour la nevrose, eux bien pendus
Sans la jacassante plenitude des feuilles trop
Nourries, du ” plat ” de la forêt, de la forêt
Sans menuet, où, une fois de plus, je ne sais
Quelle echelle apporter.
Curieuse conversation : des terres labourees
A la fille de mon peuple à cantiques, et sur
Notre oreille, ils nous font lire ces inscripdons :
” devant le roi qui fait frapper, devant la pelle
de terre cuite (pour ramasser de la terre), on
trouve des ressemblances à ce qui paraît à nous dans
les commandements de mefiance. “
Nous sommes arrives ici et nous voyons sur le banc
Bien des choses, auquel poids le colosse imprime son
Gouvernement, penètre dans la rhumerie.
La ” semblance ” de la chèvre, dame des bouillons
(qui plonge dans…) l’oracle trempe un peu plus
Chaque jour allonge sur mon corail dechirant sa
Jolie peau de muse noyee c’est-à-dire comblee
À ne pas savoir quelle imperiale passe
Ni quelle imperiale il me faudra prendre.
Lui disait : “… à faire. Et je recompenserai en eux
Les services des pères. “
Ses sentiments pour obtenir qu’il la rendît osee
Sur le pre blanc qui ne brise encore des vœux?
Que je voulais atteindre, etant bien loin entre-
Temps (celui-là aux crayons de couleurs passe en
Silence, et les cornes bleues sont ses pieds de
Neige) le bilan de ce geste qu’il eut vers elle
Sans qu’elle ait jamais pris une peine fêlee à
Le voir immobile. Sans but fixe à la generale.
Le pont dore, dans ses suaves contours me suit
Venant, ou à travers le brouillard de l’aube
Ayant de nouveau graisse des bottes grandi
Au plus vite je me dirige sans savoir si
Ma faute est imaginaire de l’aimer, et les
Esquisses de Napoleon courent encore dans les
Veines du tombeau qui sera le nôtre
Son desir de revenir à ces lieux la separe de nous
Dans le poème comme une porte dominante,
Sans la quitter, je prefère le lui dire,
Toujours engeance (elle parle ainsi) et lui
Tendre les mains comme un dormeur. Mais rien
N’interrompt le silence, sans qu’elle frotte les
Marques de son front qui me sont de chers souvenirs
Et sur le contour des maisons, ou bien des passe-
Relles, enfin ces paroles evanouies :
” Si j’etais venue à cette fontaine (le bruit)
Ou bien approchee de ce balcon, lasse (la vue)
Cette tour familière où sans melanges
Montaient les vrilles de la saison… Pourquoi
Ai je quitte ce qui me le rappelle si bien? “
Moi, je pleure ma violence. Elle est
Lointaine comme l’impôt des morts.

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L’OUBLI ET LES LUBIES - DENIS ROCHE